RDC/Société : L’inventeur congolais Jacques Manga lance un S.O.S. pour sa sécurité physique menacée

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Jacques Manga Selemani est un inventeur congolais hors pair et en même temps patron de la société Safari, avec en annexe une école dite des génies et d’élaboration des projets technologiques.

Cette dernière a déjà à son actif plusieurs inventions qu’il a mises au service de sa nation : la République Démocratique du Congo.

Il y a parmi ces inventions une unité de production et de raffinerie de pétrole (essence 95, essence 93, s.a.e.40, mazout, gaz, courant continu, goudron et autres), un système d’identification des populations ciblées, un routeur équipé d’un système d’émission des signaux internets à plus de deux kilomètres, avec une batterie incorporée, dotée d’une autonomie d’au moins sept heures du temps ; c’est sans oublier sa très récente solution favorable à la réforme qu’il a apportée dans le fonctionnement du groupe électrogène où il a réussi à la fois à supprimer les bruits et à enlever la partie pollueuse de l’air à l’échelle mondiale.

Toute cette intelligence matérialisée favorable au progrès technique de la République Démocratique du Congo n’est pas de nature à plaire à quelques personnes de mauvais augure qui ont fini par jurer, avec des imprécations en appui, de lui créer de l’insécurité de toutes sortes.

 »Derrière tout ça, nous sommes aujourd’hui dans une insécurité totale et nous avons à cet effet tenté de rencontrer des personnes que nous croyions qu’elles pouvaient nous aider, mais cela n’a pas suffi. C’est dans la mesure où elles nous ont créé des rendez-vous dans des restaurants v.i.p., y compris leurs frais de transport qui nous ont tout épuisé tout l’argent que nous avions », a-t-il déploré avant de citer quelques cas de menaces auxquelles il se voit exposé tout ce dernier temps.

 »Je viens de subir à peu près quatre accidents et ce ne sont pas des accidents impréparés. À les voir de très près, il y a lieu d’affirmer que ce sont des accidents prémédités, d’autant plus que des personnes qui viennent tous les temps me ramasser, des fois, ce sont des personnes que je connais.

Elles ne sont pas de notre pays, ce sont des occidentaux, qui veulent s’accaparer de notre projet, cette noble richesse qui loge en nous », a-t-il révélé.

Jacques Manga lance à cet effet un cri d’alarme à l’intention des autorités congolaises afin qu’elles puissent lui venir en aide.

« Nous avons besoin de sécurité physique, car de cette sécurité physique, nous serons rassurés de celle relative à la protection de notre projet », un S.O.S. signé Jaques Manga, à l’intention tant des autorités congolaises que de toute autre personne pouvant intervenir.

« Nous avons aussi besoin de financement, parce que nous avons foi que nous détenons les clés de déverrouillage des problèmes congolais », a-t-il rassuré avant de renchérir :

« Il n’y a pas que ça, car nous sommes aussi dans le secteur du transport où nous sommes en train de réfléchir sur comment fabriquer des pièces automobiles ici chez nous en République Démocratique du Congo.

Avant d’être inventeur, Jacques Manga Selemani est titulaire d’un diplôme en Electronique générale de l’Institut Supérieur des Techniques Appliquées, habituellement appelé ISTA.

Il a en plus une spécialisation dans le même domaine qu’il a obtenue au Japon.

Saint-Germain Ebengo

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